Un Homme A Poil Sur Le Net

23 07 2005

Petit rappel historique

Filed under: Vive l'Anarchie — Un Homme @ 15:07

Quand on se souvient que Jacques Chirac a dit:

Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui ensemble gagnent environ 15 000 FF et qui voit sur le palier à côté de son HLM entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosse et qui gagne 50 000FF de préstation sociale sans naturellement travailler.
Si vous ajoutez à cela le bruit et l’odeur, eh bien le travailleur français sur le palier, il devient fou. Et ce n’est pas être raciste que de dire cela.

Pourquoi voulez-vous que j’aille voter pour lui au second tour d’une élection présidentielle qui l’oppose à Jean-Marie Le Pen?

Elections piège à cons? ;)

22 07 2005

Trop connecté que pour penser

Filed under: Paradoxal système — Un Homme @ 14:57

C’est dans cet article:


The typical office worker is interrupted every three minutes by a phone call, e-mail, instant message or other distraction. The problem is that it takes about eight uninterrupted minutes for our brains to get into a really creative state.

L’employé de bureau moyen est interrompu toutes les trois minutes par un coup de téléphone, un courriel, un message instantané ou une autre distraction. Le problème est qu’il faut huit minutes sans interruption pour que notre cerveau puisse entrer dans un mode réellement créatif.

Donc, à vouloir augmenter sans cesse notre productivité en diminuant les temps de réponse (parce que bon, le temps c’est de l’argent), on en vient à être moins productif en étant trop sollicité…

Il est pas beau le monde dans lequel nous (sur)vivons? ;)

Empathie

Filed under: C'est la vie... — Un Homme @ 11:04

Ce matin, dans le tram, j’ai à nouveau été confronté à une situation qui me met mal à l’aise. A savoir, être confronté à une personne en train de pleurer. Cette personne, je ne la connais pas; mais je la croise suffisamment régulièrement dans le tram que pour que son visage me soit familier. J’aurais aimé avoir un geste de reconfort, un mot d’encouragement; mais je me suis refugié dans la lecture de mon journal…

Parfois j’aimerais pouvoir adopter un comportement plus en accord avec mes élans d’empathie… De la sympathie, au sens étymologique du terme, tout simplement…

21 07 2005

Prettige Fête Belgien

Filed under: Paradoxal système — Un Homme @ 13:41

Aujourd’hui, 175ème anniversaire de la Belgique qui est, depuis 25 ans, un état fédéral constitué de trois régions (Bruxelles, Flandres et Wallonie) et de trois communautés (néerlandophone, francophone et germanophone), le tout chapeauté par un gouvernement fédéral.

La devise de la Belgique est: “L’union fait la force”.

Etonnant, non? ;)

Le dormeur doit se réveiller

Filed under: C'est la vie... — Un Homme @ 13:18

Je dois avouer que j’aime dormir et que j’ai le plus grand mal à me réveiller et encore plus à me lever. L’absence de réelle motivation pour me lever pèse évidemment lourd dans la balance.
En général je ne me lève que pour des raisons bassement matérielles (j’ai faim, je dois pisser, si j’arrive trop tard au bureau je ne pourrai plus commander de sandwich pour le midi ;)

Faut-il dès lors s’étonner de mon manque d’enthousiasme à vivre?

20 07 2005

La mauvaise réputation

Filed under: Vive l'Anarchie — Un Homme @ 10:21

(Georges Brassens)

[…]
Le jour du Quatorze Juillet
Je reste dans mon lit douillet.
La musique qui marche au pas,
Cela ne me regarde pas.
[…]

(penser à remplacer Quatorze par Vingt-et-un en Belgique ;)

19 07 2005

On était tellement de Gauche

Filed under: Réflexions — Un Homme @ 20:55

(Christophe Miossec / Guillaume Jouan)

C’est drôle de voir ce que nos pensées sont devenues
On était tellement de gauche
Aujourd’hui on ne sait plus
On compte les plaies, les bosses
Tout ce qu’en marche on a perdu
On se dit que de toute façon l’histoire est moche
Ce qui n’était pas gagné d’avance est désormais perdu
Alors on laisse les mains dans nos poches
Même plus envie d’avoir le poing tendu
Les illusions au fond de la sacoche
De l’étudiant que depuis longtemps on n’est plus
On ne pense plus qu’à notre poste
Là où on est prêt à se battre à mains nues
Car on pense au loyer, à la femme et aux gosses
A notre honneur et à tout ce qu’il a fallu
Comme coups bas, comme ripostes
Contre des collègues qui vous tuent
Et les nouveaux qui reluquent votre poste
Comme si ce n’était pas pour vous ce beau statut
Alors ils essayent de vous faire gicler du socle
Par les moyens les plus tordus
A essayer de vivre comme si de rien n’était
On se fait un beau jour rattraper par la marée
A essayer de vivre comme si de rien n’était
On se fait un beau jour rattraper par la marée
Et quand vous apprenez un jour pas la poste
Que de vous, de vous on ne veut plus
Vous repensez alors au cocktail molotov
Ca ne serait pas arrivé si on s’était battu
Mais c’est trop tard pour que l’on rechausse
Les vieilles idées que l’on croyait perdues
C’est désormais bon pour les gosses
Allez les enfants, foutez le raffut

(Faut-il que je me résigne?)

Mort aux vaches

Filed under: Aphorismes — Un Homme @ 10:33

Ce que j’aime dans la police montée, c’est qu’on est certain de pouvoir trouver un peu d’humanité… dans les yeux du cheval ;)

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