Ah merveille du partenariat public-privé, panacée actuelle:
Galileo devait jusqu’ici être mis en place dans le cadre d’un partenariat public-privé, avec deux tiers de financement privé. Mais le consortium industriel retenu refuse désormais d’assumer sa part des risques financiers.
(Le Soir, pour rappel, Galileo est le système de satellites qui devait concurrencer le GPS américain…)
En fait, le capitalisme fonctionne à merveille, tant qu’il y a des Etats derrière pour garantir la mise…