Bien bien, le vil censeur que je suis vous propose ce post pour que vous puissiez vous exprimer tout à loisir sans craindre la censure…
Allez, c’est à vous :p
Bien bien, le vil censeur que je suis vous propose ce post pour que vous puissiez vous exprimer tout à loisir sans craindre la censure…
Allez, c’est à vous :p
Pour les (rares) personnes que ca interesse parmi vous, le site KernelTrap publie les tout debuts de Linux (en anglais).
C’est ici que ca se passe…
Toujours amusant de voir comment ce qui etait un simple projet d’etudiant est devenu un des projets phare du logiciel libre…
Puisque certaines et certains ne semblent pas savoir ce dont il s’agit (en voyant les reponses a mon sondage), et pour faire une sorte de suite a ce post, voici un extrait du livre que je suis en train de lire (La Marionnette et le nain de Slavoj Žižek):
[…] on devrait donc poser que le “bonheur” repose sur l’incapacite du sujet a (ou le refus du sujet de) se confronter totalement aux consequences de son desir: le prix du bonheur est que le sujet reste enferme dans l’incoherence de son desir. Dans notre vie quotidienne, nous desirons (ou faisons semblant de desirer) des choses que nous ne desirons pas vraiment, de telle sorte que, fondamentalement, la chose la pire qui puisse nous arriver est d’obtenir ce que nous desirons “officiellement”. Le bonheur est donc intrinsequement hypocrite: le bonheur consiste a rever de choses que nous ne voulons pas reellement. Lorsque la gauche contemporaine bombarde le systeme capitaliste d’exigences que celui-ci est a l’evidence incapable de satisfaire […], elle se livre fondamentalement a un jeu de provocations hysteriques, en adressant au Maitre une exigence que celui-ci ne pourra satisfaire, ce qui revelera son impuissance. Cependant, le probleme de cette strategie n’est pas seulement l’incapacite du systeme a repondre a ces demandes , mais aussi le fait que ceux qui les avancent ne tiennent pas vraimenta ce que ces demandes soient satisfaites.
[…]
Le vieux slogan de Mai 68 “Soyons realistes, demandons l’impossible!” prend ici une nouvelle signification sinistre et cynique qui, peut-etre, en devoile la verite. “Soyons realistes: nous la gauche universitaire, voulons apparaitre critiques, tout en jouissant pleinement des privileges que le systeme nous accorde. Bombardons le systeme de revendications qu’il ne peut satisfaire: nous savons tous que ces revendications ne serons pas satisfaites, nous sommes donc certains que rien ne changera reellement et que nous conserverons notre situation privilegiee!”
Comme je ne suis pas philosophe, je me contenterai de dire que le bonheur ca peut etre simple comme:
Même si je ne peux que me réjouir de voir des gens échapper à la peine de mort, le traitement médiatique de la chose me déplaît très fortement.
Tout d’abord, la manière dont notre Super-Président et sa Première Dame ramenent la couverture à eux.
Pourquoi fallait-il que ce soit un avion du gouvernement francais qui ramène les infirmières et le médecin à Sofia?
A moins qu’il ne s’agisse, de la part de l’ancien ministre de l’Intérieur, d’une nostalgie de l’époque encore toute récente où il renvoyait bulgares et roumains par charters juste avant l’entrée de ces deux pays dans l’Union Européenne…
Par ailleurs, le biais très “européen” de l’affaire est déplaisant. Si les 5 infirmières et le médecin ont évité la peine de mort, ce n’est pas le cas de deux Turcs et quatre Egyptiens, éxecutés en juillet 2006, comme l’évoque ce rapport d’Amnesty International. Sans parler des Libyens emprisonnés et torturés pour leurs opinions et qui croupissent encore dans leurs geôle sans que Nicolas ou Cécilia ne gesticulent…
Enfin, si l’on observe l’aspect judiciaire de la chose, je trouve dérangeant que nous (européens) payions ((car, il ne faut pas se leurrer, nous avons payé pour la libération de ces gens)) pour libérer des prisoniers de droit commun. Car, même si la faute n’était pas intentionnelle, il y a eu contamination d’enfants par le virus du sida, et même si le personnel médical ne mérite certainement pas la mort ((mais qui la mérite en fait?)) faut-il pour autant l’absoudre de toute responsabilité? Faut-il évoquer le spectre de l’affaire du sang contaminé?
Encore une fois, cette affaire laisse un désagréable goût de “deux poids, deux mesures” désormais habituel…
C’est vrai ça au fond? Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux?
D’autant plus que, comme nous le rappelle cAt, la fin du monde est pour demain…
Et la fin de la Belgique sans doute pour un peu avant, avec un futur Premier Ministre qui entonne la Marseillaise en lieu et place de la Brabanconne…
Bref, si le bonheur ça n’est pas maintenant, ça risque bien d’être jamais ((et hop! un petit sondage approprié ;) ))…
Non?
Eh oui, ce blog a deja deux ans…
Dingue non?
262 articles 888 commentaires, des milliers, que dis-je, des millions de visites… Que demander de plus ;)
Selon cet article de la BBC:
More than half of those arrested in the UK on suspicion of terrorism since September 2001 have been released without charge, according to figures.
Bref, dans plus de la moitié des cas, des innocents se sont retrouvés en prison, et parfois pendant assez longtemps, comme on peut le voir, sous d’autres latitudes, dans le film The Road to Guantanamo…
Finalement, qui cherche-t-on à protéger du “terrorisme”? Les citoyens innocents, comme ceux qui se retrouvent en prison injustement accusés d’etre des “terroristes”?
Dans la lutte contre le “terrorisme”, il y a quand-même pas mal de dommages collatéraux, non?
Quand on me parle de “guerre contre le terrorisme”, je ne peux m’empêcher de penser à 1984 d’Orwell:
“War is Peace; Freedom is Slavery; Ignorance is Strength.”
Si l’on y réflechit un peu, ces devises correspondent assez bien à l’état de nos sociétés “démocratiques”, non? ;)
En voyant les préparatifs de certaines et certains pour aller au Japon, je me dis que je pourrais évoquer mes propres préparatifs. Qui sait, cela pourrait peut-être servir à quelqu’un…
Avant toute chose, on va préciser que je ne suis pas un adepte des voyages organisés et que, par conséquent, j’ai tout organisé par moi-même ;)
Pour ce qui est du billet d’avion, j’avais choisi Air France qui me permettait de partir de Bruxelles-Midi en TGV pour rejoindre Roissy-Charles-de-Gaulle. Le billet coûtait 792,04 euros.
Autre incontournable des transports au Japon, l’inévitable, l’essentiel Japan Rail Pass que je me suis procuré chez ICTAM (ils étaient les moins chers, je ne me souviens plus du prix exact; mais ils ne comptaient que 8 euros de frais de dossier en plus du prix du Railpass converti en euros).
Toujours avant de partir, je voulais régler la question du logement sur place. Mes critères de selections étaient les suivants:
Le budget que je m’étais alloué tournait autour de 5000 Yens ((à l’époque 1 euro valait +/- 155 Yens)) par nuit pour une chambre sans salle-de-bain et sans repas.
Voici les différentes auberges que j’ai visité chronologiquement:
A l’exception du Nihonkan à Kyoto, toutes les auberges possédaient un (ou plusieurs dans le cas du Sawanoya) ordinateur connecté à Internet et à Kyoto, dans la gare, le Tourist Information Center permet de se connecter à Internet pour 100 Yens les 15 minutes.
Pour ce qui est de l’utilisation des metros, elle est particulièrement aisée si vous maîtrisez un minimum d’anglais (il y a toujours ou presque un guichet automatique avec les instructions en anglais, et dans le metro, toutes les stations sont annoncées en anglais); par contre, pour les trains, si vous vous aventurez en dehors des grandes lignes, il vaut mieux maîtriser un minimum de japonais ;)
Bon, comme ce post commence a être relativement long, j’en ferai peut-être un autre sur la nourriture et d’autres aspects du Japon… :D
またね。
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